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Madoukera au fil des vagues...
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7 juin 2016

Paros : Parikia

2016

C’est donc par le port de Parikia à Paros, une des plus grandes iles des Cyclades que commence notre périple dans la mer Egée. Et nous ne sommes pas déçus ! Une première petite exploration de nuit (nous sommes arrivés sur le caïque à 22h passées et même ici et près du solstice d’été, le soleil a fini par se coucher, apportant la fraîcheur de l’obscurité), nous permet d’apprécier deux des curiosités locales « by night » : une chapelle blanche à la coupole bleu-azur (typique des Cyclades), joliment illuminée, et notre premier petit moulin (sans doute une reconstitution posée là à l’intention des touristes que nous sommes), également d’une magnifique blancheur, qui déploie ses ailes sur le port, entre l’embarcadère des ferries et la place principale. Quelques tavernes toujours animées malgré l’heure tardives apportent leur touche d’exotisme (surtout pour qui vit aux Antilles où il n’y a pratiquement pas de vie nocturne). Ça nous donne un premier aperçu plutôt positif de ce qui nous attend dans ces îles que nous avons tant attendues pour visiter, et ça augmente notre impatience… 

2016

Le lendemain matin, nous prenons notre temps et parcourons longuement les ruelles très étroites pavées de marbres gris et bordées de maisons blanches sur lesquelles ressortent les taches de couleur des bougainvilliers et du bois peint des fenêtres, des volets et des portes. A chaque intersection la vue d’une nouvelle ruelle nous enthousiasme ; nous allons d’émerveillement en éblouissement et les appareils photo crépitent à qui mieux mieux. Ici et là, une chapelle et son clocher nous rappellent la ferveur religieuse des grecs orthodoxes, particulièrement exacerbée dans ces îles. Sur la place centrale, une imposante église orthodoxe est surplombée par deux grands clochers dont la blancheur immaculée se découpe dans un ciel sans nuage d’un bleu azur : vue ainsi, elle semble spécialement construite pour figurer sur une carte postale ou dans la brochure d’un tour opérateur. A l’intérieur, on retrouve la richesse désormais habituelle des icônes qu’on a déjà constatée sur le continent et que les fidèles viennent systématiquement embrasser quand ils y rentrent. Mais déjà nous devons retourner à bord pour entamer notre petite croisière ; nous retrouverons les charmes de Paros en fin de croisière.

 

2016

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